Burkina : recrutement complémentaire de 2 000 policiers sous-officiers.
Le Capitaine Ibrahim Traoré, le chef de la transition au Burkina Faso poursuit le renforcement de son armée. En dehors de l’acquisition des armes modernes plus sophistiquées, de la mobilisation des fonds, le jeune président a autorisé le recrutement de 2 000 policiers sous-officiers au cours directeurs de la fonction publique. Une décision qui vise à renforcer les effectifs des forces armées Burkinabés.
Traoré a fait de la lutte contre les groupes armés terroristes son cheval de Bataille au Burkina. Moins de tuerie en masse, moins de désolation au sein de la population.
L’acquisition des drones avec la formation des agents de défense et de sécurité ont contribué à reculer véritablement le terrorisme au pays des hommes intègres.
Même si le danger n’est pas décintrement écarté, il faut saluer l’avancée des FDS du Burkina qui ne cesse d’infliger de lourdes pertes humaines et logistiques aux terroristes.
En s’appuyant sur les volontaires pour la Défense de la Patrie (VDP), le pays a pris en charge sa défense personnelle en mettant en minorité les forces extérieures, notamment l’armée française.
Bien que les policiers recrutés ne soient pas envoyés directement au front, ils contribueront à la sécurité dans les grandes localités et permettront le déploiement des FDS dans les lieux de tensions.